[marilili]

14mars,voila 1 mois aujourd'hui que tu as ete enterrée ,elle me manques tellement ,quand il y a eu 1 mois que tu es decédée le 7 fevrier les 2 horloges s'etaient arretées et aujourd'hui 1 mois que tu es enterrée et ce matin en allant chercher gaetan dans son lit je reviens dans la cuisine et la la tele etait allumée c'est bizzare car personne ne la regardait avant et j'etais debout depuis 6h30 et je ne l'avais pas allumée pour moi ca fait 2 signes que tu m'envoie meme si les gens a qui j'en parle me prenne pour une folle

[Rebelle]

Non, tu n'es pas folle Marilili, j'ai moi aussi des signes de Wes, c'est vrai que si l'on en parle à l'extérieur, on nous prends pour des foux, donc, il vaut mieux en parler ici entre nous, moi j'en parle aussi avec ma fille et mon mari, mais pas ailleurs.
Douces pensées pour Lucille
Je t'embrasse

[evelyned]

De tout coeur avec vous

Tendres pensées pour Lucile

Evelyne

[Désarroi]

Comme je vous comprends ... moi non plus je n'ose pas en parler autour de moi, je ne serais pas du tout cru ... mais je sens la présence de Magali souvent près de moi, derrière mon oreille ; il m'arrive même de me détourner, même en voiture tellement je LA SENS TOUTE PROCHE.
Nos 2 filles sont parties le même jour, de maladie. Je pense très fort à vous.
J'aimerais vous consoler, vous encourager ... c'est difficile quand soi-même on est dans ce même chagrin.
Je vous embrasse.

[coeur blessé]

Tu n'es pas folle Marilili puisque chez-moi à quelques reprises c'est une lampe qui s'allumait et je n'allais pas dans cette chambre et pourtant la lampe s'allumait seule et je suis certaine que c'était un signe.

Coeur blessé

[Abella]

Il y a eu une telle complicité entre ta fille et toi, petite maman qui l'a soignée et entourée de ta tendresse jusqu'à la fin, que cela semble presque logique qu'il y ait communication, avec réceptivité de ta part, toi qui était attentive au moindre besoin de Lucile. Lucile semble très active et désireuse de te rassurer.
Oui, ils font ce qu'ils peuvent pour nous dire qu'ils sont toujours... Et nous ne pouvons en parler à tout le monde. On nous prend pour des folles, c'est vrai. Heureusement qu'on peut le faire ici.
Bises, Patricia